Uno pichoto idèio!
En fait, je ne sais pas trop écrire, donc je vais vous faire part d'une des multiples idées qui trottinent dans ma teste. Parce que mon plus gros problème, c'est que toute la journée, ma tête est vide, face à l'écran d'ordi à taper mes rapports, ou sur site à faire des relevés, devant la télé le soir, pendant que je mange, bref tout le temps... Sauf!
Oui, il y a toujours un sauf, et moi ça me soule, mon cerveau s'allume le soir, quand j'éteins la lumière...Et là, je suis assaillit d'idée, plus ou moins tordues, plus ou moins débiles, plus ou moins intéressantes, plus ou moins marquantes.
D'ailleurs, à l'époque où j'avais le temps pour écrire des scénarii ou des histoires courtes (alala la jeunesse), c'était la période de la journée dans laquelle je puisais toutes mes idées, j'écrivais que la nuit. Parfois de 0h à 4h. Avec le boulot c'est plus galère, quoique parfois je pourrais vu que je me triture le citron pendant des heures.
Grâce à ces périodes d'imagination, j'ai inventé des personnages qui m'ont apporté pas mal de mépris de mes compères bédéistes amateurs, notamment un certains "Wc-Man", dont son pouvoir était de faire caguer les gens, un sur-doué traité de mongolien en enfer, un petit-fenec caricaturant la vie, bref mon cerveau s'allumait!
Et donc, hier soir, je ne sais pas du tout pourquoi, j'ai pensé à "Candide", l'oeuvre de Victor Hugo, et je me suis demandé ce que ça donnerait aujourd'hui. Déjà le titre deviendrait "Punching ball malgré lui, ou l'histoire d'un mec", aucun ami, 38 fois cocu, et pourtant toujours heureux.
Un gros problème avec ces idées la nuit, c'est que j'ai que un bout d'idée, parfois la fin, parfois le début, parfois le milieu d'une histoire, parfois juste le 4ème de couverture, ou le titre.
Ces pensées nocturnes me hantent, je pense qu'il en est de même pour vous, mais parfois on se surprend à penser à la journée qui arrive, mais c'est bien, c'est court, parce que de toute façon, demain, on recommencera...pipi, tartine, douche, tuture, boulot, bouffe, boulot, tuture, glande, bouffe, glande, dodo...
Il arrive que ça change, une petite bière, une petite pipe, remplacant une phase de glande.
Il y a aussi les pensées nocturnes d'enfant "Les Bisounours Sanguinaires", d'ados "Un immeuble de 50 étages avec des femmes à poils partout", d'adulte "Merde 400€ de factures, je mangerais des pâtes natures", mais les meilleures viennent d'ailleurs, les meilleures, on veut les raconter, on veut que tout le monde les connaissent, on veut les vivres, "Un jour j'irais en Mongolie", "Faire la sieste sur un banc", "Ecrire cet article", et moulons de truk!!
En attendant, je suis moins riche que ce matin, mais toujours plus pauvre que Bill Gates!
Oui, il y a toujours un sauf, et moi ça me soule, mon cerveau s'allume le soir, quand j'éteins la lumière...Et là, je suis assaillit d'idée, plus ou moins tordues, plus ou moins débiles, plus ou moins intéressantes, plus ou moins marquantes.
D'ailleurs, à l'époque où j'avais le temps pour écrire des scénarii ou des histoires courtes (alala la jeunesse), c'était la période de la journée dans laquelle je puisais toutes mes idées, j'écrivais que la nuit. Parfois de 0h à 4h. Avec le boulot c'est plus galère, quoique parfois je pourrais vu que je me triture le citron pendant des heures.
Grâce à ces périodes d'imagination, j'ai inventé des personnages qui m'ont apporté pas mal de mépris de mes compères bédéistes amateurs, notamment un certains "Wc-Man", dont son pouvoir était de faire caguer les gens, un sur-doué traité de mongolien en enfer, un petit-fenec caricaturant la vie, bref mon cerveau s'allumait!
Et donc, hier soir, je ne sais pas du tout pourquoi, j'ai pensé à "Candide", l'oeuvre de Victor Hugo, et je me suis demandé ce que ça donnerait aujourd'hui. Déjà le titre deviendrait "Punching ball malgré lui, ou l'histoire d'un mec", aucun ami, 38 fois cocu, et pourtant toujours heureux.
Un gros problème avec ces idées la nuit, c'est que j'ai que un bout d'idée, parfois la fin, parfois le début, parfois le milieu d'une histoire, parfois juste le 4ème de couverture, ou le titre.
Ces pensées nocturnes me hantent, je pense qu'il en est de même pour vous, mais parfois on se surprend à penser à la journée qui arrive, mais c'est bien, c'est court, parce que de toute façon, demain, on recommencera...pipi, tartine, douche, tuture, boulot, bouffe, boulot, tuture, glande, bouffe, glande, dodo...
Il arrive que ça change, une petite bière, une petite pipe, remplacant une phase de glande.
Il y a aussi les pensées nocturnes d'enfant "Les Bisounours Sanguinaires", d'ados "Un immeuble de 50 étages avec des femmes à poils partout", d'adulte "Merde 400€ de factures, je mangerais des pâtes natures", mais les meilleures viennent d'ailleurs, les meilleures, on veut les raconter, on veut que tout le monde les connaissent, on veut les vivres, "Un jour j'irais en Mongolie", "Faire la sieste sur un banc", "Ecrire cet article", et moulons de truk!!
En attendant, je suis moins riche que ce matin, mais toujours plus pauvre que Bill Gates!